Relu tout. J'aime ceux du mi-début, puis petit à petit, les "tu" que je reconnais, les airs que j'ai écoutés, les images, et les cachés.
Je viens d'une discussion, qui me paraît claire, mais très trouble.C'est comme si on parlait clairement sur de l'eau constamment en mouvement.Aujourd'hui on en parle comme "avant" mais demain? Demain est-ce qu'on arrivera à être "avant"? Face à face?
Ce côté Flou que je n'arrive pas à déchiffrer (flou. trop de trucs avec ça !! enfin seulement 2...3)
D'un côté je recommence à écrire, me serais-je habituée, (ré)habitué?
Peut-être que cette discussion me rappelle d'"avant", peut-être que finalement ce serait pas mal qu'on arrive à être comme ... deux personnes civilisées,
avant d'être aveugle
Oui tout ça se rejoint.
Pire, ça se croise! Et pourtant je n'arrive pas à être lisible, risible? Je ne suis qu'un peu perdue de plus...
cet "avant" me rappelle que finalement ce n'était pas que 3...
Que elle* a fait du mal un peu, partout, un peu, à "...tout le monde..."
Et puis la chanson qui est dans le contexte, comme je n'ai toujours pas une repeat one, un peu de tout me conviendra...
J'ai une image dans la tête, je dirais même plus; une photo!
Une photo qui représente ce que je penses ce qu'il en est devenu
peut-être pas bien mais je me vois comme ça. ne me demandez pas pourquoi
Un article peut-être pas plaisant , mais tellement apaisant.Je l'écris pendant la discussion, peut-être celle qui fera qu'on sera un jour un(e) seul(e) et même personne comme elle* l'avait voulu un jour.Ou peut-être pas comme ça.Mais différemment.
Comme cela s'est passé, c'est différent mais 3x (x3) mieux.
Bien sûr il y a des peurs, bien sûr il y a des films,
"tu ne m'enlèveras pas ça, au moins",
mais je me dis que "ça va aller" puisqu'il le dit, puisqu'on y croit, puisque
c'est différent! lu
Ce sentiment dont Rousseau parle, j'aime comment il le décrit, même si ce n'est pas le même que je ressent : mais ce sont les mots.Je vais prendre sa citation pour parler d'un sentiment dont lui ne parle pas.Est-ce clair?
"Je connais un autre sentiment, moins impétueux peut-être, mais plus délicieux mille fois, qui quelquefois, est joint à l'amour et qui souvent en est séparé.Ce sentiment n'est pas non plus l'amitié seule: il est plus voluptueux, plus tendre [...]"
Il parle d'un "entre-deux",
un sentiment plus fort que l'amitié
mais moins puissant que l'amour. La tendresse?
Peut-être que ça va rester comme ça...et que ça se dégradera
Moi je parle d'un sentiment qui est tout aussi décrit par Rousseau, mais que je nomme supérieur à tout les autres, il n'a pas de nom, il est seulement en nous, chacun a le sien, son propre sentiment bien différent dans la forme, dans la maîtrise, dans l'art de le nommer, de le décrire.Moi je ne le connais que depuis peu alors je n'arrive pas encore à *
Mais je sais ce qu'il peut faire, je sais comment il me transforme, comment il peut être destructeur, aussi.Mais ça ne fait rien! Ca ne fait rien parce que j'ai décidé que ça n'était pas grave, et je sais que tu seras là, que je suis différente, que c'est différent, et que mine de rien
<< ça va aller >>.
-J'aimerais un monde où l'on arrive à être tous bien, qu'il soit heureux et que mes doutes reposent en paix dans leur terre natale : l'enfer? Peut-être que c'est prétentieux après tout, mais qui ne souhaite pas quelque chose qui est impossible? On a tous des choix à faire, on a tous des regrets à cacher, à rattraper, à remplacer, à compenser.Mais cette émotion, ce sentiment, cette discussion me donne envie d'aller de l'avant même si ce passé ...
Ce passé que j'ai tant apprécié, me montre que oui, c'était bien, oui on était jeunes et cons, oui c'était...c'était avant.Et aujourd'hui, je peux te dire mon vieux, qu'c'est vraiment encore mieux! Ce sourire passif est bien là, en moi, et quelque fois il se peut qu'il ressorte encore.Mais ce n'est pas toute ma vie.C'est une partie.De ce que j'ai vécu, de ce que je vis, de ce que je construit, de ce que je vais faire.
C'est grâce à ça qu'on avance aussi.-
Ce passé que j'ai tant apprécié, me montre que oui, c'était bien, oui on était jeunes et cons, oui c'était...c'était avant.Et aujourd'hui, je peux te dire mon vieux, qu'c'est vraiment encore mieux! Ce sourire passif est bien là, en moi, et quelque fois il se peut qu'il ressorte encore.Mais ce n'est pas toute ma vie.C'est une partie.De ce que j'ai vécu, de ce que je vis, de ce que je construit, de ce que je vais faire.
C'est grâce à ça qu'on avance aussi.-
"j'ai faillit marcher sur un astre ce soir là"