On pense parfois.
"Parfois... crois-moi... on doit se taire, enfin."
Le silence est parfois plus productif que la parole, mais avec toi, j'aime discuter. Parler. De tout.
Même si parfois ça peut faire mal (et pas qu'à moi, je le sais bien).
Laissons le temps nous bercer, non pas d'illusions, mais de rêves, de possibilités, de futurs incertains mais qui nous apparaissent sous un jour des plus prometteurs.
Je progresse, dans l'écriture, dans mes réflexions, ai-je trop de sang-froid? ai-je trop de compassion? ai-je simplement raison de penser comme cela? peut-être au final je suis plus cruelle que je ne le crois. J'espère que tu pense que je réagis "comme il faut", enfin, je me soucies peut-être trop de ça.
Mais enfin, passons, je publie, je poste, je n'écris pas ma vie, je publie un article, une feuille qui tombe parmi tant d'autres,
une goutte d'eau dans la mer, un grain de pollen parmi des milliers d'autres.
J'aime juste l'idée de correspondances, entre des idées, des pensées, des écritures
des liens qui apparaissant à travers ces petits papiers sans réelle importance.
Ecrire, et en parler, aussi, ça me vide, ça me soulage, ça me fait rendre compte à quel point je t'aime.
A quel point j'ai besoin de toi.
mon grincheux :)
Le temps, qu'il passe vite, celui-là! Un vent froid et une neige abondante tombait pourtant avant-hier. Mais aujourd'hui c'est déjà le printemps.
Il serait temps que je me sorte de cette torpeur, une routine dangereuse, où le cocon que je me suis construit ne doit être que détruit actuellement. Petit à petit, j'en sors, j'essaye de frapper contre la paroi, une chrysalide de l'air dont je dois me détacher.
J'ai peur d'être retenue dans la ville des Chats si cela continue...
(lis-le après moi!)
En attendant...
C'est la dolce vita, une odeur légère, une atmosphère de bonheur qui plane, un petit vent frais qui nous emporte dans nos rêves, et nos espérances... Ne t'inquiètes pas, je reste là, je suis déjà là, pour toi, pour nous....
Et on me demande aujourd'hui si je sais écrire une lettre d'amour...
C'est ce que j'essaye de faire tous les jours, du moins de te le transmettre -> et j'espère que le message passe
Revoir ces articles, ton blog vivant, me donne envie de redonner vie au mien.
Malheureusement, mon écriture n'est plus la même, avec le temps on devient peut-être fade, mais j'ai plus envie de croire que c'est le bonheur actuel qui m'empêche d'écrire.
"On n'écris pas sur ce qui va" n'est-ce pas ?
Or, tout va!
Vraiment.
I love you.