Je ne sais pas ce que j'aime le plus dans la bûche, que ça soit le goût praliné, que ça soit la crème patissière qui fond sous la langue, que ça soit la pâte onctueuse, ou bien que ça soit la grandeur exquise de ce dessert.Ou le tout :).Enfin en tout cas j'aime.Noêl noêl, joyeux n'est-ce pas, belle fête ponctuée de joyeux présents, sont-ils plus surprenant les uns que les autres; que par celui qui les offre.Est-ce que cela veut dire quelque chose? Mais j'arrive à me comprendre ^^.Enfin l'air est à l'après-fête, l'air est au cocooning, l'air que je respire me dit de dormir :).Longtemps mouarf!C'est aussi pour ça que j'aime les vacances de fêtes.Mais malheuresement, j'ai du mal à trouver quoi faire ; j'ai envie de lire pas compliqué, quelquechose comme des mangas où je plonge dans l'histoire imagée, pas envie de réfléchir à l'histoire, à comment sont les lieux, les personnages, flemme de réfléchir à imaginer? Probablement, c'est aussi pour ça que je dois arrêter de choisir des livres trop sérieux, enfin je n'en sais rien, il faut dire que je n'étais pas concentré sur celui-ci, L'appareil photo de Toussaint.Il était drôle mais en même temps tristement réaliste.Peut-être que je dois continuer à rêver, comme cette soirée vendredi m'a rappelée, les souvenirs, les vraies "girls want just have fun" et nos rêves, ou plutôt notre rêve de fillette émerveillée par celui-là, "comme dans les films".Je ne sais pas, c'est étrange de voir quelqu'un qui était comme moi, quand j'étais au collège, je ne me sens pas du tout supérieur, au contraire, j'ai l'impression que contrairement à cette personne je me suis forcée à voir la dure réalité et me suis détachée de ces rêves qui étaient merveilleux...Mais je ne sens pas mon regret, puisque ce n'en est pas un, je le vis ce rêve, et je ne suis pas malheureuse-loin de là-.Seulement je me demandes, si le mieux est de continuer à rêver, rester enfant, ou grandir en changeant nos rêves? Grandir veut souvent dire avancé, mais n'est-ce pas aussi une manière de reculer? On perd l'insouciance, ce qui est finalement triste.Je ne voudrais pas devenir, l'une de ces personnes aigries, qui ne croit plus en rien, que ce qu'elle voit, et encore!Qui se bat avec son collègue pour savoir qui a sortit la poubelle le plus tôt ce matin (et je n'invente rien).Et finalement, je penses que si je refuse aujourd'hui cette façon d'exister, je ne le deviendrais pas.Du moins je fairais tout pour.J'ai déjà mes promesses pleins la tête, de moi à moi-même et ça ne fait que rajouter de conviction à mon idée :
"rêves toute ta vie".
