Mardi 28 août 2007 à 21:41

L'amour désormais; est un fleuve pollué

T'aurais vu c'que j'ai vu; tu voudrais plus

T'y baigner...

Lorsque vous commencez...à écrire...

Si le sol est brûlant,

Si tu l'as pas vu venir,

L'oeil du volcan aurait pu te le dire,

Caldeira...

Lorsque que l'on a l'impression d'être l'ombre de soi-même, de ne pas se faire comprendre...et lorsque l'on a un but et que l'on se sent existée...lorsque l'on se prend pour un personnage de fiction et que l'on rêve, même le jour...Lorsque les gens vous disent pleins de blabla que vous n'en pouvez plus.Lorsque vous n'en pouvez plus de ne plus en pouvoir puisque les autres vous en demande plus que vous n'en pouvez.

Une idée du bohneur

Avis au amateur

Un couteau dans le coeur

Ce doit être une erreur,

Rien de grave, mon amour...

Lorsque les gens vous parle et que vous n'écoutez pas.Lorsque vous le savez mais vous n'voulez pas écouter.lorsque vous parlez à vous même, et le même ne veut rien savoir.Lorsque vous écoutez pour ne rien dire ensuite.Lorsque vous parlez et que vous vous rendez comptes...que finalement personne ne vous écoute.Lorsque vous n'avez pas envie de vous écouter.Lorsqu'il faut écouter.

La terre qui retient

L'eau comme un aimant

Une mer qui lèche

Jusqu'à lépuisement

C'est en haut des falaises

HmmHmm

Que l'on se sent vivant...

Lorsque que l'on croit l'autre mort.Lorsque celui-ci croit la même chose.Lorsque vous n'savez pas vous réveiller.Lorsque vous n'voulez pas vous réveiller.Lorsque cela paraît si simple.Lorsque vous vous en rendez compte seulement.lorsque les autres commencent à pleurer et.Lorsque il n'est pas encore trop tard.Lorsqu'il faut voler au secours.Lorsque ce n'est plus la peine.Lorsque vous partez.lorsque les autres restent.

Incendie volontaire dont je suis la terre

Les m'diples voyait que vos ennemis

Me consument

Comme du cellophane

Pyromane...

Lorsque vous avez envie de craquer.Lorsque l'explosion n'est pas loin.Lorsque c'est quelqu'un d'autre qui craque.Lorsque vous ravalez votre colère.Lorsque votre colère vous aspire vers un néant venant du prémice entre la haine, le tonnerre et Anubis dieu de la mort, qui peut surgir à chaque instant de vos neurones qui stimule vos nerfs lympahtiques passivement énervés mais que l'organisme n'atteint pas encore la nervosité attendue.Lorsque cela énerve encore plus.

Je voulais tant te plaire

Sans vouloir te cabosser

Que veut-tu y faire

Si je t'ai endommagé

Je n'voyais pas ta chair

Comme de la tôle froissé

Tu n'aurais pas du te taire

T'aurais quand même pu te confier

Je n'aurais pas dû te laisser faire

Ces choses qui t'ont plombées

Tu sais, tu n'avais pas l'air d'être tant

Largué

Mon homme mon homme mon homme

Mon homme blessé...

Lorsqu'on vous obliga à arrêter.Lorsque vous empêche.lorsqu'il ne reste même plus la fuite lorsque l'on doit arrêter d'écrire...

Par forcetranquille le Vendredi 19 octobre 2007 à 12:35
Jamais, au grand jamais, ne perdre espoir ! ...
 

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